Eduardo Garcia au Nord-Pinus

 

Pour la deuxième année consécutive, le chef mexicain Eduardo « Lalo » García, du fameux restaurant Máximo Bistrot à Mexico city, sera aux fourneaux du Nord-Pinus en juillet et août.
Personnage hors du commun à la réputation mondiale, Làlo proposera chaque jour une carte à base de produits locaux et de saison, mêlant cuisine méditerranéenne et inspiration mexicaine.

Le Chef Eduardo Garcia récolte une betterave

À propos du chef

La vie d'Eduardo Garcia semble sor­tir d'un roman qu'aurait pu écrire un Emile Zola latino. Pour échapper à la misère, sa famille a émigré clandestinement aux États­ Unis, quand il avait 9 ans. À 14 ans, il trouve un job de plongeur dans un restaurant d'Atlanta, puis devient commis de cuisine. Son histoire aurait pu poursuivre ainsi jusqu'au happy-end...mais il se rend complice d'une attaque à main armée et est condamné à quatre années de prison.

En 2007, Lalo commence à travailler dans les cuisines du restaurant Pujol puis ouvre sa propre affaire trois ans plus tard : le Máxima Bistrot.

Aujourd’hui, Eduardo Garcia est un chef à la réputation internationale. Il collectionne les récompenses pour ses restaurants à Mexico, dont notamment le Máxima Bistrot, qui vient d'être classé meil­leur restaurant du monde par les lecteurs du mensuel américain Food & Wine. L’adresse s’est également hissée à la 28ème du classement des 50 meilleures tables d’Amérique latine (50 BEST).

Assiette blanche sur une table en bois avec des lamelles de poisson et de la sauce.

Kampachi et vinaigrette de soja, gingembre et coco
© Alejandro Yanes

La cuisine d’Eduardo Garcia

« Il m'a emmené chez des maraîchers, des paysans qui cultivent des champs sur les hauteurs de Mexico. Le rapport à la terre, c'est la base de sa cuisine. Avec ses ingrédients, il marie les techniques de la cuisine française avec ses racines mexicaines, dans des plats qui ont une dimension gastronomique, mais aussi joyeuse. J'aime son sens du partage.» - Armand Arnal, chef étoilé du restaurant La Chassagnette (Arles)

Kampachi et vinaigrette de soja, gingembre et coco
© Alejandro Yanes